Théâtre, comédie, spectacle musical : tous les événements sont gratuits mais le port du masque est obligatoire.

« Mars et Vénus », samedi 18 juillet à 21 heures sur le square Durandy.

Les « Mars et Vénus » sont légion au théâtre. Cette version a été écrite et mise en scène par un niçois et dépeint les différences entre hommes et femmes. Un spectacle désormais culte, à l’affiche depuis 13 ans, LA comédie de couple à succès.

« Chérie, où as-tu mis la télécommande ?… Et ramasse tes chaussettes ! » Pourquoi la femme se prend la tête ? Pourquoi l’homme est de mauvaise foi ? Pourquoi la femme se plaint et l’homme se vante ? Pourquoi l’homme est faible et la femme arrive-t-elle toujours à ses fins ? Pourquoi l’homme aime les chieuses et la femme les bad boys ?…

A partir de 14 ans, durée 1h20.

« Sunderland », dimanche 19 juillet à 17h30 sur la place des Vignerons.

C’est une comédie sociale à l’anglaise : l’histoire drôle et émouvante d’une famille, touchée par la crise et les drames familiaux. Vous partez à la découverte du quotidien de Sally et Ruby, qui luttent depuis leur licenciement de l’usine pour conserver la garde de la petite sœur de Sally. Une leçon de vie qui avait été adaptée au cinéma par Charlotte de Turkheim avec Alice Pol et Audrey Lamy et transposée à Saint-Etienne. Le film s’appelle « Qui c’est les plus forts ? »

Tout public. Durée 1h20.

« Le bal des couillons », dimanche 19 juillet à 19 heures sur le square Durandy.

Une comédie rurale « à la bonne franquette ». Avec des vacheries, des couillonnades et des effets spéciaux nous dit le pitch. On y raconte l’histoire d’un paysan très rustique qui vit dans une femme hantée par sa femme. Un avocat parisien très hautain vient d’acquérir la ferme voisine pour en faire un cottage. La rencontre va être truculente

A partir de 10 ans. Durée 1h20.

« Le diner de cons », dimanche 19 juillet à 21 heures sur la place des Vignerons.

La pièce culte de Francis Weber, adaptée au cinéma avec Thierry Lhermitte et Jacques Villeret est jouée ce dimanche à Nice et raconte l’histoire (s’il est nécessaire de la raconter de nouveau) de Pierre Brochant. Chaque mercredi, Pierre Brochant et ses amis organisent un dîner de con. Le principe est simple : chaque participant amène un « con ». Le vainqueur est celui qui ramène le plus con. Ce soir, Pierre est heureux car il pense avoir trouvé la perle rare en la personne de François Pignon, comptable au ministère des Finances, passionné de modèles réduits en allumettes.

Tout public. Durée 1h30.

Notre coup de cœur. « La bande à Bonnot chante Boris Vian » lundi 20 juillet à 20h30 sur la place des Vignerons.

« Bienvenue au Cabaret des Enfers » : les membres de la terrible bande anarchiste du début du Xxè siècle se voient confier les préparatifs de la célébration du 60è anniversaire de la disparition d’un certain Boris Vian. Pas question de décevoir les invités : « Chez Satan », tout doit être épatant.

Du Tango des joyeux bouchers à On n’est pas là pour se faire engueuler, en passant par J’suis snob, Fais-moi mal Johnny, Le Déserteur ou La Complainte de Bonnot, le répertoire de Boris Vian est mis à l’honneur par quatre lascars au destin sulfureux et au caractère trempé dans l’acier. Humour noir et ironie salvatrice sont au programme de cet anniversaire.

Tout public. Durée 1 h.