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15/07/2020

Pourquoi ce monde devant l’Opéra de Nice chaque midi ?

Le traditionnel coup de canon de midi est suivi d'une demie-heure musicale sur le parvis de l'opéra de Nice, rue Saint-François de Paule.

 

Depuis le début du mois de juillet, du mardi au samedi, à chaque fois que retentit le coup de canon de midi, tiré depuis le château, démarre sur le parvis de l’opéra, une demi-heure de musique et de chants interprétés par des musiciens de l’Orchestre Philharmonique de Nice et des chanteuses et chanteurs du Choeur de l’Opéra.

Best of d’airs classiques, de jazz et même de variété : les promeneurs ne peuvent qu’apprécier.

 

A Nice, cette coutume du coup de canon de midi remonte à 1860 : Un lord anglais, Sir Thomas Coventry, avait obtenu le droit de faire déclencher ce coup de canon pour rappeler à son épouse qu’il était temps de mettre un terme à sa promenade, à ses emplettes et à ses infinis bavardages et de rentrer à la maison pour le déjeuner. Les mauvaises langues disent qu’elle ne faisait pas que des emplettes…

15/07/2020

Pourquoi ce monde devant l’Opéra de Nice chaque midi ?

Le traditionnel coup de canon de midi est suivi d'une demie-heure musicale sur le parvis de l'opéra de Nice, rue Saint-François de Paule.

 

Depuis le début du mois de juillet, du mardi au samedi, à chaque fois que retentit le coup de canon de midi, tiré depuis le château, démarre sur le parvis de l’opéra, une demi-heure de musique et de chants interprétés par des musiciens de l’Orchestre Philharmonique de Nice et des chanteuses et chanteurs du Choeur de l’Opéra.

Best of d’airs classiques, de jazz et même de variété : les promeneurs ne peuvent qu’apprécier.

 

A Nice, cette coutume du coup de canon de midi remonte à 1860 : Un lord anglais, Sir Thomas Coventry, avait obtenu le droit de faire déclencher ce coup de canon pour rappeler à son épouse qu’il était temps de mettre un terme à sa promenade, à ses emplettes et à ses infinis bavardages et de rentrer à la maison pour le déjeuner. Les mauvaises langues disent qu’elle ne faisait pas que des emplettes…